Outre son talent de dessinatrice, Leyster était passée maître dans le clair-obscur et les jeux de lumière très en vogue alors (Vermeer, Rembrandt,...).
L'expressivité de ses personnages était également époustouflant, tel Le Gai buveur (que Norman Rockwell n'aurait sans doute pas refusé de signer !) :
ou son autoportrait par lequel on saisit le caractère fort, provocateur mais taquin, désinvolte mais sûre d'elle :
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